PTOUS (LE MONT) - Cyrénaïque, III, 406. — De leur temps les relations de l'Egypte avec l'Inde étaient encore rares, 1, 192. Déplo- rable administration des derniers Plo-Purifications. lémées, III, 417, Leur incurio laisse tomber en désuétude les lois et rè- glements de police, ibid. Ce désordre nuit particulièrement à la prospérité d'Alexandrie, ibid. - Les Ptolémécs Putéoli, nom nouveau donné à Dicear- Epimenide est le pre- mier qui ait procédé aux purifications au moyen de formules en vers, 11, 366. L'eau du lac de Lerne a servi de tout temps aux purifications, 11, 165. chic, après qu'elle eut reçu une colonie romaine, I, 408. - Double étymologie proposéo pour ce nom, 1, 408-409. Putride (Lao). Voy. Supra-Limné. Pydna, ville généralement attribuée à la Piérie, II, 78, 79. - Strabon la place au N. des bouches de l'Ha- liacmon, 11, 77. Distance où elle est de Méthone, II, 78; et de l'em- houchure du Pénéc, 11, 81. — Bataille do Pydna qui met fin à la monarchie macédonienne. II, 79. - - || ont leurs sépultures dans le Séma d'Alexandrio, III, 411. Ptous (Le mont) domine toute la plaine Ténérique, II, 240; et la partie du lac Copais voisine d'Acraphium, ibid. -11 dépendait du territoire de Thèbes, ibid. Alcée parle du triple sommet du Plous, 11, 239.- L'Oracle du Plous dépendait, comme la montagne elle- même, du territoire de Thèbes, 11. 240. Le premier prophète qu'Apollon attacha à ect Oracle fut le héros Tċ- nérus, né de ses amours avec Mélia, | 11. 239-210. Publicaina, fermiers des mines d'or de la vallée des Salasses, dans les Alpes, 1, 310. Leur avarice, ibid. Leurs fré- quents démêlés avec les Salusses, ibid. D'autres publicains s'approprient violeminent la double lagune de Séli- nusie, III, 115; et en perçoivent un moment les droits, ibid.; ce qui donne lieu à une mission d'Artéinidore à Rome, ibid. 484 PUBLIC'S CRASSUS. Voy. Crassus. PUBLIUS SERVILIUS, dit l'Isaurique. - Voy. Servilius (Publius). Pucerons (en grec ipes). Gratitude des Erythréens du mont Mimas envers Hercule pour avoir purgé leurs vignes d'ipes ou de pucerons, III, 62. Puits. - Détails empruntés à Posido- nins sur les deux puits de Gadira, 1. 28.3. Puits de l'intérieur de l'Ethio- - -labo - PYLEMÉNÈS tion de Carthage et par la rédaction en province romaine de la Libya et de l'Thérie Carthaginoise, I, 479." - - Pygalyées, sobriquet donné à des sol- dats d'Agamemnon, III, 109. Pygéla, localité située entre Ephèse. Magnésie et Priène. II, 502. Ger- tains auteurs y placent un établisse- ment d'Amazones, ibid. — Pygėla pos- sède un temple d'Artémis Munychie bâti soi-disant par Agamemnon, III, 109. Origine du nom de Pygéla, ibid. Pygmées (Les), dans la pensée d'Ho- mère, étaient répandus sur toute la longueur des rivages de l'Océan, 1, 58. Plus tard le champ de la tradition relative aux Pygmées s'est singuliè- rement restreint, 1, 59. Hésiode - les mentionne comme Homère, I, 73; II. 19. Strabon refuse de voir dans les Erembes une tribu de la nation des Pygmées, I, 72. — 11 est probable que le rapetissement particulier aux races de l'Ethiopic est ce qui a donné l'idée de la fable des Pygmées, III, 460. C'est la fable homérique du combat des Grues et des Pygmées qui a suggéré à Déimaque et à Mé- gastheno cette fiction d'hommes hauts de trois apithames, I, 62, 119; III, 246. - - pie. 111. 370. Puits que se creusent les éléphants, 111, 371. Puits de fou qu'on rencontre à chaque pas, sur un espace de plusieurs stades, dans la plaine do Mazaca, II, 478. Ces puits de feu sont d'autant plus dangereux que rien n'en annonce la présence, ibid. On en signale aussi Pylzenne (L'Assemblée), ainsi nommés | dans l'Artacène, non loin d'Arbèles, III, 301. Puniques (Guerrea). On en compte trois, I, 479; III, 481. — Le traité qui termina la seconde réduisait les forces navales des Carthaginois à douze vais- seaux. III, 482.- La troisième est celle qui mit le plus en lumière l'im- mensité des ressources de re peuple, 111, 481. Elle finit par la destruc- de ce que les députés des villes au conseil amphictyonique se réunis- saient deux fois par an aux Ther- mopyles, II, 250. PYLEMÉNES, chef paphlagonien, venu au secours de Troie, 11, 483. - Pom- pée fait don aux descendants de Pylæménės d'un petit royaume formé de certains cantons intérieurs de la Paphlagonie, II, 483.
