Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/132

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III

LES PLEUREUSES SUR L'ACROPOLE

��Di L*nT (T M L'oonr, ui mamt rMam rr us *it>ca MoimifT «m tmmt oo fiMnàiKm, n cjuiatn octa>t im oewt p'Atbbu et m Titm oooaiit iot tai Dtcait.

PitMiH caŒUk. [Ella sont utr la droilt du T<rlrt.]

I. Vêtues de vos cheveux, crêpe tojeuz du deuil lur v<m épaolc*

blanches.

Feuillage noir sur les tombes de la forêt humaine,

Qui êtes *ous, jeunes filles et d'où venez vous.

Toutes nues, toutes froides, et rangées comme des statues ans

bras de marbre,

Où la nuit a jeté son manteau?

Second cbook. [EUtt soni sur la gaucht dm Trrfrc.]

Velues de vos cheveux, toile sojeuse d'or sur vos gorges de neige,

Et sur vos molles hanches automne palpitant, tissa de doit.

Jeunes filles, qui êtes vous, vous qui venez

Lentement et droites, comme les formes du révt, tor le

��champ

��Où le carnage ferme, k peine, Hr laniiuiîp, ton crW unelint?

PuMin orauft. Il . Nous sommes les princesses captives, encore pores,

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