Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/212

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Tristette, toaverain cripoKolc, Heure rojrale de l'ime, Tu m'as fait trop eo vie, dès l'aobe. Et voill que je ne »uii aui» tor tet votntnett, Mélancolie,

LA où tout est dëpris, U où le silence, toge voilé sur le Mwl de rEden, ouvre les portes do temple.

IX. Tristesse, 6 miroir de la graodeur. Pensée, ô miroir de tristesse. Pourquoi l'ai je connue ?

Pourquoi t'ai je formée? Pourquoi t'ai je coulée, fo'mr r"- roiire de l'éternelle glace?

Etincelanie, i tes faces de lumiire, pourquoi «llnmais m i'i*- nombrable diamant de la nature ?

Puis donc qu'anjourdliui je te brise,

El puis que tout soleil achoppe k la nuit ?

Jt;rrm.

X. C'en est fait, le dis je.

J'ai dispersé les dieux, ces indignes. Ta les avais piMMMat ca

mépris. Mais Celle ci.

Avec elle nous demeurons dans l'ombre la plus haute :

Celle ci, Athéna, ma Pensée, — ha.

Vois comme, i force d'éire belle, elle r«< K-f^KU

Athéna, ma divine fille.

Je ne pouvais m'en séparer. . •

Libre d'elle. 6 non Tiun, je vais l'être, — Et toi aussi, tu seras délivré.

Dors, Athéna, ma Pensée. — et tous les die«i ea toi. Je vous vone an sommeil, et moi même as désert.

Dors, Aihéna, — me délivrant, seule divine Il CM tcaps aussi qae je te délrre

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