Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/215

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le toi

��moins.

��TiTAM.

Il M plus imer qu« la mon, i tous les deux.

L* pulpe csi ilévot^e; le noyau de la don' ,

Ne litissc aux dcns qu'un monceau de cnu

JuriTiK. Comme le mortel éphémère, que ne puis je dire, en embrutani

« Terre, terre, A large mère, endors le grand patient, L'homme. •

TrfAH.

L'acte, en moi, était un fauve i jedn, qui Uché sur la proie

Dévore.

Tu fis bien de me clouer sur le roc, Tjran. J'éuii ainsi, du

JurrriR. Tu ne l'es plus.

TlTAM.

C'en est fait : Moi et toi, nous savons. C'en est fait.

JtfrrriH.

Oui, moi et toi.

Dis, que sommes nous? Deux intmis qui se dépouillent; Deux absolus qui se résorbent,

Deux ombres d'univers qui se contemplent en6n dans le miroir de la mcie commune.

Va, Titan : couchons nous.

Tous les dcuA >v ..cachèrent, El, comme alon ce fut la Nuit, Dans les hauteurs

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