Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/25

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V. Chaque regard, lur moi, %e pose comme une maio qui saitii Et qui cueille. Les yeux en vain te baisteot : je me sent fanée comme une fleur

djrn un iirdin dVté.

VI. Mon loifn Cil l'enfant délicieui, dont votre crue! amour • fait son esclave de jeu. El même si vous d'j louchez pas, par vos pensées, derrière vous, il est

Partout iriinë. Vous devriez me tuer.

Vil. Délivrez moi. Je voudrais marcher librement, sans les voiles biùlans dont vous me tenez enveloppée. Ha, La douleur de vivre est profonde autant qu'exquise. C'est la blessure qui retient le blessé ; et qui séduit le cœur

qu'elle décliirc.

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