« Ou pourquoi, me mettant honme au monJe ei m'uftMe ne me faisait lu pa» tout vulaërable comme eut ?
< Fallait il que je te dufie d'être, vivant, plut qu'un homme ? El moin» qu'un mort, après la vie ?
■ Voit le mal que tu Gi : tu m'as donné le cœur d'un homme, et la pensée d'un dieu.
■ Je méprise tes dieux heureux, ô ma mire. « S'ils me valaient, ils ne riraient pas.
« Et s'ils m'jT conviaient, refusant de m'aiseoir k leur ubie, j'é- loignerais de moi leur ambroisie.
V. < Et l'ai l'ennui encore, et le dégoiit de tous les hommes, de leurs vertus autant que de leurs crimes : la nausée me vient de mes exploits.
« J'ai eu toute la gloire : et pourquoi ai je donc tant lutté f Pour un nom.
« Le plus glorieux est mort comme un chien : ton fils, ma mire. El sa grande Imc ne s'est prodiguée que pour une ombre, — du vent est allé au Tent. .
■ Ha, je ne sais rieo regretter, ni mes travaux, ni ma colire, ni mes peines ;
< Mais de rien je ne puis me satisfaire davantage. .
■ Vois cette jeune femme qui sourit, et qui suit, amoureuse, Orphée le poite, pour une vie naïve et brivc : je n'envie peut-être quelle et les fleurs dont clic est parée. .. -—
< Toi, laisse moi, 6 ma mire, ma tris dangereuse ennemie, qui m'a créé ce que je suis, pour vivre et pour mourir. . »
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