Page:Suarès - Images de la grandeur.djvu/92

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

Puis ils u>nt mon oijrttère : ma vie m en eitate devant elie- mérae, eic'ett en eui.

Mon premier ni, je l'ai nomme du nom c^ui lui vtiui de mon doux père, plein de force et de bonté; et cette fragile créature, je l'appelle du nom que ma mire a porté, qui fut mélancolique et mourut jenne.

Lt voTACm, à lui-mêmt.

Tontes les tristesses, et toutes les piétés. Voilk par où le monde dure.

Li voTACCua.

IX. Vois m venir la nuit, jeune femme ? Non : la nuit n'est pas faite pour tes jeux.

Réjouis toi dans ton cœur, mire tris douce, toi qui le peu. .

En ceux qui sont je vois que tu ressuuites ceux qui ne sont plus, Ime pieuse. Telle est la religion des hommes : tout vient de cet espoir, et tout y va.

Je n'en accepte pas la loi. Et l'idée seule m'en déchire le coeur, comme une insulte. Je l'aime en toi, pourtant; et ma pitié l'admire.

Adieu. Et sois heureuse.

��— IJO —

�� �