Page:Suarès - Les bourdons sont en fleur.djvu/11

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O» CLAIRE. O Ghita , comme tu restes coite I comme tu es placide !

O. SŒVR GHITA, souriant. Puisque frère Fran- çois doit partir ce soir, et que je ne puis l'empêcher, pourquoi .

CL CLAIRE, /e5 "^eux fixés devant elle sur les lauriers^ souriant avec joie . Le voici, il me semble. Ah I sa vue est un bienfait pour lame , comme , dans la fraî- cheur du matin , le premier encens du soleil qui fume .

G, SŒVR GHITA. II vient vers nous. C CLAIRE, vivement. Mais penses-tu qu'il fût parti sans me dire adieu ?

CL SŒVR GHITA, le suivant des yeux. 11 est rentré, avec frère Elia, dans la chapelle . CL CLAIRE. N'est-il pas bien pâle ? CL SŒVR GHITA. >^ Il ne me semble pas. CL CLAIRE. Tu ne remarques rien. CL SŒVR GHITA, rieuse . ^ Il est livide, si tu veux .

CL CLAIRE, ;o»gnan/ les mains. O Jésus, gcirdcz le d'être malade et de souffrir !

CL SŒVR GHITA,/ai3an/ de méme^aoec onction. Ainsi soit-il.

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