ne se lasse pcnnt . celui qui veille et qui demeure 1
CL. FRANÇOIS. Ah! vos foudres sont des fleurs, lèvres sereines . Jésus , Jésus , c’est vos yeux que j’ai vus ? Et... et j’entends votre voix ? Dites . parole du ciel ,suis- je en paradis ? pourrai-je vivre après cela ? Mon Sau- veur , source de sang , qui a coulé pour moi . prenez , prenez-moi , que je cesse ! Est-ce vous ?
C LE VOYAGEVR. û C’est moi . Viens plus près, viens sur mon cœur , François . Regarde. Là , regarde, toi qui m’aimes. Vois mon flanc , vois !
C[, FRANÇOIS, épzrdu. O Seigneur , vous me bai- sez la joue , comme vous avez baisé la joue de Judas .
C LE VOYAGEVR. a Comme j’ai baisé Jean . le Bien Aimé.
<î. FRANÇOIS. Vous ? Vous !
<I. LE VOYAGEVR. Moi .
FRANÇOIS pousse un
sanglot aigu et déchi
rant. Une nuée pas
se. La lune se
Voile. L’obscuri
te se fait.