Page:Suarès - Sur la mort de mon frère.djvu/258

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dominent leur sort. Mais on ne maîtrise que sa pauvre joie. Nul ne domine la mort. La suprême douleur est plus forte que les plus forts. Ô vous, qui passez sur le chemin et que j’attriste, dites s’il est une douleur semblable à la mienne ?