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Page:Sue - Arthur, T3, 1845.djvu/93

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Comme toujours, une fois cette lettre partie, lorsque je revins à moi, lorsque je réfléchis à cet outrage infâme… je fus épouvanté.

Si je m’étais trompé !!!

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J’aurais donné ma vie pour ne pas avoir écrit ces lignes terribles.

Il n’était plus temps…

Ma chambre était séparée de celle de Falmouth par une cloison…

Dans une épouvantable anxiété, j’écoutai… Lorsque le valet qui avait apporté ma lettre

  1. Toute cette lettre se trouve soigneusement raturée dans le manuscrit du Journal d’un Inconnu.