Aller au contenu

Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 1, 1851.djvu/175

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

VI

Telle était Maria Fauveau, la petite bourgeoise vulgaire, vulgarité naïve et charmante, qui laissait un libre et joyeux essor aux plus nobles élans du cœur, aux plus vives saillies de l’esprit ; vulgarité mille fois préférable à la réserve, à la distinction des manières, lorsque par ces raffinements d’une éducation oisive, la distinction devient de la sé-