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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 1, 1851.djvu/206

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la bonne aventure.

se retournant à demi pour donner à son mari le baiser d’adieu ; — finis donc, voilà quelqu’un qui entre.

En effet, un client ouvrait la porte. Le mercier alla au devant de lui, et Maria disparut dans la pénombre de l’arrière-boutique.

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Toujours grâce à la béquille magique du Diable boiteux, nous conduirons le lecteur, non pas dans un autre quartier, mais dans une rue aussi aristocratique que la rue du Bac est commerçante.