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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 1, 1851.djvu/288

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la bonne aventure.

n’est-ce point là une de ces fines alouettes que l’on prend par l’éblouissement du miroir. Quant au physique, c’est plus que jamais la gentillesse, la grâce, la fraîcheur et la friponnerie en personne.

— Mais, c’est donc un parti pris, bourreau ! de venir à cette heure me faire tant d’éloges de cette damnée femme !

— Oui, monsieur, c’est toujours un parti pris chez moi de vous dire la vérité, si désagréable qu’elle soit, afin de ne point vous embarquer dans l’impossible ; aussi, croyez m’en, Monsieur, renoncez à…

— Mais faut-il te le répéter, malheureux ! que par je ne sais quelle fatalité, je suis piqué au vif par ce minois chiffonné, que je