Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 2, 1851.djvu/256

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de bassesse et de fierté, d’orgueil et de servilité que je connaisse… Et ça est pourtant entré chez moi timide et ingénu comme une rosière. Du reste, le Ducormier est probe et désintéressé ; du moins jusqu’à présent il a été ainsi. En tous cas, même avec lui, n’écrivez rien. Dès que les gens de cette extraction ont perdu leur première candeur, et prétendent à faire les messieurs, les beaux, il est extrêmement prudent de ne se point compromettre avec eux et de se réserver le moyen de les désavouer au besoin. Je suis donc parfaitement en mesure de renier le Ducormier. Prenez les mêmes précautions, cher ami ; je vous le recommande instamment, dans notre intérêt commun.

« La note ci-jointe se complétera par ce