Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 3, 1851.djvu/187

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— Certainement, monsieur le duc, rien de plus intéressant que ces études, même pour des profanes comme moi.

— À la bonne heure ! — reprit le petit homme enchanté ; — c’est ce que je ne cesse de répéter à madame de Beaupertuis ; on peut, sans être savant, s’intéresser aux phénomènes naturels ; oui, ma chère, et je venais justement vous faire part de la plus curieuse observation du monde, — ajouta M. de Beaupertuis d’un air capable et triomphant. — Savez-vous les mœurs des pamphylochromoresinum ? Je viens de passer trois jours à les observer, mais il me faudrait, pour vous faire bien comprendre la chose, un fort tronc d’arbre auquel je puisse me cramponner, — ajouta M. de Beaupertuis en jetant les yeux