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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 3, 1851.djvu/305

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— Ah ! Madame, — reprit Ducormier, — fasse le ciel que vos espérances ne soient pas trompées ! Rien ne manquerait alors au bonheur de votre famille, car je puis, je crois, vous complimenter sur le prochain mariage de mademoiselle votre fille.

— Le prochain mariage de ma fille ! — s’écria madame Duval en se tournant vers Clémence.

Celle-ci parut non moins stupéfaite que sa mère, qui répéta :

— Le prochain mariage de ma fille, dites-vous, Monsieur ?

— Oui, Madame, avec M. le comte de Saint-Géran.