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Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 3, 1851.djvu/310

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d’une grande fortune font-ils faire tant de bassesses !

Et deux larmes d’indignation coulèrent des yeux de la jeune fille.

— Mademoiselle… pardon… mille fois pardon, — reprit Anatole d’un ton pénétré, — je suis désolé de vous avoir involontairement affligée en répétant un bruit qui circulait dans le monde…

— Mais ce bruit est absurde, Monsieur, il est de toute fausseté, croyez-moi, je vous en conjure ! — reprit vivement madame Duval. — Certes, nous serons toujours très reconnaissantes des bons soins de M. Bonaquet, mais, en vérité, il a de singulières façons de