Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 3, 1851.djvu/90

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qui personne ne parle ? Tenez, il vient d’approcher son vilain nez de ces beaux strélizias comme pour les sentir, croyant probablement que ç’a a de l’odeur, l’imbécille !

« — Ah ! j’y suis, ces deux inconnus doivent être des ministres ; ce pauvre Morsenne est bien obligé d’en recevoir, des ministres !

« — Voilà pourtant où vous conduit l’ambition !

« — Mais alors, pourquoi donc le gouvernement de tous ces gens-là ne leur donne-t-il pas quelque chose comme qui dirait une plaque d’ordre ou un grand cordon quelconque, pour les marquer ? Ça les em-