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LE COLONEL.
Non, Monseigneur ; je ne suis encore qu’à la moitié du numéro de cejournal.
LE PRINCE ROYAL.
Si ces dames le permettent, nous interromprons pendant quelques instants cette lecture, car, en vérité, l’on a besoin, pour ainsi dire, de respirer, après de si vives émotions ; l’on croirait assister à l’audience.
LA PRINCESSE DE LOWESTEIN.
Nous sommes tout-à-fait de votre avis, Monseigneur ; nous allions prier Votre Altesse Royale de suspendre un moment cette lecture.