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folle, ou qu’elle est innocente, car il faut être fou pour faire le mal pour le mal, et jusqu’ici le procès prouve que l’accusée ne connaissait pas la duchesse avant d’entrer à son service. Tel a été son zèle et ses soins pour sa maîtresse, que celle-ci lui en a souvent témoigné sa satisfaction. Alors, pourquoi Maria Fauveau aurait-elle voulu l’empoisonner ?
LE PRINCE ROYAL.
Permettez, monsieur l’amiral, vous oubliez une des choses les plus capitales du procès…
L’AMIRAL.
Laquelle, monseigneur ?
LE PRINCE ROYAL., au colonel.
Colonel, relisez-nous, je vous prie, la fin