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LE PRINCE ROYAL, aux personnes présentes.
Je ne suis pas, mesdames, assez égoïste pour vouloir jouir seul de la bonne fortune que je dois à la confiance de M. le comte Ducormier. Et d’ailleurs, je ne commettrai pas d’indiscrétion : cette lettre sera lue publiquement à l’une des prochaines audiences. (S’apprêtant à lire.) Veuillez écouter…
DUCORMIER, avec un modeste embarras.
Monseigneur… je vous en supplie…
LE PRINCE ROYAL.
C’est vrai. Pardon, cher comte, je comprends la susceptibilité de votre modestie : lire tout haut cette lettre devant vous, ce se-