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sont tombés d’accord sur ce point que vous jouissiez de toutes vos facultés mentales.
« Me Dumont, défenseur de la prévenue. — Ce n’est pas seulement à M. le juge d’instruction que l’accusée a tenu ce langage : à toutes mes instances, afin d’obtenir d’elle les aveux, les renseignements indispensables à sa défense, elle m’a toujours répondu d’un air égaré : À quoi bon se défendre ? je suis condamné d’avance à mourir… Ce n’est pas d’aujourd’hui que je le sais. C’est mon sort, on ne peut rien faire contre son sort. (Sensation.)
« M. le président. — Maître Dumont, je vous fais observer de nouveau que ce moyen, basé sur l’aliénation mentale dont vous sup-