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Nonancourt. Tout est terminé. (Elle porte son mouchoir à ses yeux humides. Ma fille ma pauvre Diane ! Enfin, ses derniers vœux sont exaucés !
LE DUC DE BEAUPERTUIS, pleurant aussi.
Hélas ! oui, car bien souvent elle m’a répété : « Dès que j’aurai rendu le dernier soupir, promettez-moi, mon ami, de faire transporter mon corps à Nonancourt, où j’ai passé les plus heureux jours de ma vie ! et surtout jurez que mon corps ne sera pas profané par les médecins, puisque l’on sait de quoi je meurs. »
LA PRINCESSE, sanglotant.
Mon Dieu ! mon Dieu !