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LE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL, au duc, qui peu à peu remis, a tâché de reprendre son sang-froid.

Monsieur, votre trouble évident fait naître dans mon esprit des soupçons de la plus haute gravité. Il est du devoir de la justice de procéder ici, à l’instant, en votre présence, à une minutieuse perquisition.

LE DUC, d’une voix saccadée.

Une perquisition ! pourquoi faire ? Pour trouver ici du poison, probablement ? Pardieu ! belle affaire ! Certainement que l’on trouvera du poison ? est-ce que je n’emploie pas de l’arsenic pour la conservation de mes insectes ?

LE SECRÉTAIRE GÉNÉRAL.

Nous tiendrons acte de cette déclaration,