Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 6,1851.djvu/230

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DUCORMIER, se jetant au cou de Bonaquet.

Tu m’as aimé comme un frère, Jérôme ? répète ces mots-là, et je mourrai content.

BONAQUET, le repoussant.

Laisse-moi ! laisse-moi !

DUCORMIER, avec un sourire navrant.

Dieu est juste ! cet adieu suprême, je ne le mérite même pas. Ton amitié sainte, ô Jérôme ! je l’ai insultée, reniée ; à mon heure dernière tu me repousses, Dieu est juste !