Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 6,1851.djvu/263

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puis, il repassera par ici pour prendre monsieur et madame.

— C’est imaginé à merveille, — répondit Héloïse ; — par cette belle soirée, la route sera charmante à travers le bois. Venez nous prévenir dès que M. Fauveau sera là, afin que nous ne le fassions pas attendre.

— Bien, madame, — dit la servante en quittant le salon.

— Que dites-vous de cette idée, mon ami ? Elle me paraît d’un bon augure.

— Certes, ma chère Héloïse… Pauvre Joseph, pauvre Maria ! je suis heureux de leur bonne pensée.