Page:Sue - La Bonne aventure, Tome 6,1851.djvu/288

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Maria en échangeant avec Clémence et Héloïse un regard bientôt humide de larmes, — Quand vous êtes là, on n’a rien à craindre : vous êtes comme un bon ange.

— Joseph, reprit le docteur, — entends-tu ta femme, comme elle me câline ? Elle m’appelle bon ange, afin de me rendre indulgent pour sa fameuse tourte aux cerises. Allons, fouette, cocher ! Arrivons vite à ta ferme !


FIN.