le prince Djalma ne soit pas ici… demain, et ce que vous avez fait pour cela. M’entendez-vous ?
— Je n’ai rien à vous répondre.
Deux coups frappés à la porte interrompirent la conversation.
— Entrez, dit Rodin.
— La lettre a été portée à son adresse, monsieur, dit un vieux domestique en s’inclinant, voici la réponse.
Rodin prit le papier qu’on lui présentait, et, avant de l’ouvrir, dit courtoisement à Faringhea :
— Vous permettez, monsieur ?
— Ne vous gênez pas, dit le métis.
— Vous êtes bien bon, répondit Rodin, qui, après avoir lu, écrivit rapidement quelques mots au bas de la réponse qu’on lui apportait, et dit au domestique en la lui remettant :
— Renvoyez ceci à la même adresse.
Le domestique s’inclina et disparut.
— Puis-je continuer ? demanda le métis à Rodin.
— Parfaitement.
— Je continue donc, reprit Faringhea… Avant-hier, au moment où, tout blessé qu’il était, le prince allait, par mon conseil, partir