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Page:Sue - Le Juif errant - Tomes 7-8.djvu/558

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— J’ai touché sa main… il est maintenant sacré pour moi…

Puis après un moment de silence, et la réflexion lui venant sans doute, il s’écria :

— Oui… mais il n’est pas sacré pour celui qui, selon ce qu’on m’a répondu cette nuit, doit l’attendre à la porte de cette maison…

Ce disant, le métis courut dans une chambre voisine qui donnait sur la rue, souleva un coin du rideau, et dit avec anxiété :

— Sa voiture sort… l’homme s’approche… Enfer !… la voiture a marché, je ne vois plus rien.





fin du huitième volume.