son assentiment un peu forcé ; mon ami… que faites-vous ?…
— J’appelle votre sauveur et le nôtre, répondit Agricol, ivre de bonheur et certain du bon succès de l’intervention de Gabriel auprès de M. Hardy.
Se rendant à l’appel du forgeron, bientôt Gabriel entra dans la chambre de M. Hardy.
Nous l’avons dit : aux abords de plusieurs des chambres occupées par les pensionnaires des révérends pères, certaines petites cachettes étaient pratiquées, dans le but de donner toute facilité à l’espionnage incessant dont on entourait ceux que la compagnie voulait surveiller : M. Hardy se trouvant parmi ceux-là, on avait ménagé auprès de son appartement un réduit mystérieux où pouvaient tenir deux personnes ; une sorte de large tuyau de cheminée aérait et éclairait ce cabinet où aboutissait l’orifice d’un