Page:Sue - Les Mystères du peuple, tome 1.djvu/318

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ami, ainsi que je t’appelais dans ma maison, — reprit mon père. — Nous n’avons pas oublié ce chant des bardes qui t’accompagnaient lorsqu’ils ont poussé le premier cri de guerre dans la forêt de Karnak :

« Frappe fort le Romain… frappe à la tête… plus fort encore… frappe… frappe le Romain ! »

Et tous ceux de la tribu de Joel répétèrent à grands cris et d’une voix le refrain des bardes : 


« Frappe… frappe le Romain !… »




fin du premier volume