Page:Sue - Les Mystères du peuple, tome 1.djvu/90

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

opinions républicaines, il se peut que j’aie l’honneur de vous trouver demain sur une barricade.

— Je ne sais ce qui doit arriver, monsieur, — répondit le marchand ; — mais je ne crains ni ne désire une pareille rencontre.

Puis il ajouta en souriant :

— Je crois, monsieur, qu’il sera bon de surseoir à la fourniture en question ?

— Je le crois aussi, monsieur, — dit le colonel en faisant un salut contraint à M. Lebrenn, qui sortit.