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CHAPITRE VIII.

LES QUATRE ÉTAGES.



L’escalier sombre, humide, paraissait encore plus obscur par cette triste journée d’hiver.

L’entrée de chacun des appartements de cette maison offrait, pour ainsi dire, à l’œil de l’observateur une physionomie particulière.

Ainsi la porte du logis qui servait de petite maison au commandant était fraîchement peinte d’une couleur brune veinée imitant le palissandre ; un bouton de cuivre doré étincelait à la serrure, et un beau cordon de sonnette à houppe de soie rouge contrastait avec la sordide vétusté des murailles.

La porte du second étage, habité par la de-