Page:Sue - Les mystères de Paris, 2è série, 1842.djvu/174

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ble confiance avec laquelle on l’introduisait au cœur de cette famille souveraine.

Ni cette jeune fille, ni son frère ne reculèrent un moment devant leurs mauvais desseins ; ils venaient sciemment apporter le trouble et le chagrin dans cette cour paisible et heureuse. Ils calculaient froidement les résultats probables des cruelles divisions qu’ils allaient semer entre un père et un fils jusqu’alors tendrement unis.