Page:Sue - Les mystères de Paris, 2è série, 1842.djvu/234

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Altesse lui inspire sont d’autant plus dangereuses qu’on ne peut s’empêcher d’être charmé de leur esprit, et qu’on les écoute malgré soi avec un plaisir extrême. Mais regardez donc, monseigneur, quelle charmante jeune femme ! Votre Altesse m’accordera du moins que la marquise d’Harville doit être jolie partout. N’est-elle pas ravissante de grâce ? Ne gagne-t-elle pas encore au contraste de la sévère beauté qui l’accompagne ?

La comtesse Sarah Mac-Gregor et la marquise d’Harville descendaient en ce moment les quelques marches qui de la galerie conduisaient au jardin d’hiver.