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Page:Sue - Les mystères de Paris, 5è série, 1843.djvu/218

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pettes retentissantes et aux glaives de flamme, elle se contente modestement… de gendarmes.

Nous le répétons :

Pour terrifier les méchants, on matérialise, ou plutôt on réduit à des proportions humaines, perceptibles, visibles, les effets anticipés du courroux céleste…

Pourquoi n’en serait-il pas de même des effets de la rémunération divine à l’égard des gens de bien ?

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Mais oublions ces utopies, folles, absurdes, stupides, impraticables, comme de véritables utopies qu’elles sont.

La société est si bien comme elle est !!! Interrogez plutôt tous ceux qui, la jambe avinée, l’œil incertain, le rire bruyant, sortent d’un joyeux banquet !!