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Page:Sue - Les mystères de Paris, 7è série, 1843.djvu/274

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emportements ; sa frénésie atteignait-elle son paroxysme, il se prenait à rugir dans la solitude et dans l’ombre comme une bête fauve ; ses accès de rage se terminaient-ils par une sorte de brisement douloureux de tout son être, il ne jouissait même pas de ce calme de mort, produit souvent par l’anéantissement de la pensée ; l’embrasement du sang de cet homme dans toute la vigoureuse maturité de l’âge ne lui laissait ni trêve ni repos… Un bouillonnement profond, torride, agitait incessamment ses esprits.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Nous l’avons dit, Cécily se coiffait de nuit devant sa glace.

À un léger bruit venant du corridor, elle détourna la tête du côté de la porte.