Page:Sue - Les mystères de Paris, 8è série, 1843.djvu/275

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— Encore M. Rodolphe ! — dit Germain étonné.

— Oui, maintenant on peut tout vous dire, vous saurez cela ; M. Murph me dit donc : — Germain est libre, voilà une lettre pour M. le directeur de la prison ; quand vous arriverez il aura reçu l’ordre de mettre Germain en liberté et vous pourrez l’emmener. Je ne pouvais croire ce que j’entendais, et pourtant c’était vrai. Vite, vite, je prends un fiacre… j’arrive… et il est en bas qui nous attend…

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Nous renonçons à peindre le ravissement des deux amants lorsqu’ils sortirent de la Force, la soirée qu’ils passèrent dans la petite chambre de Rigolette, que Germain quitta à onze heures pour gagner un modeste logement garni.

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Résumons en peu de mots les idées pratiques ou théoriques que nous avons tâché de mettre en relief dans cet épisode de la vie de prison.

Nous nous estimerions très-heureux d’avoir démontré :