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CHAPITRE III.

FURENS AMORIS.



La nuit était venue pendant que Rodolphe se rendait chez le notaire.

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Le pavillon occupé par Jacques Ferrand est plongé dans une obscurité profonde…

Le vent gémit…

La pluie tombe…

Le vent gémissait, la pluie tombait aussi pendant cette nuit sinistre où Cécily, avant de quitter pour jamais la maison du notaire, avait exalté la brutale passion de cet homme jusqu’à la frénésie.

Étendu sur le lit de sa chambre à coucher faiblement éclairée par une lampe, Jacques Ferrand est vêtu d’un pantalon et d’un gilet noirs ; une des manches de sa chemise est rele-