Page:Sue - Mathilde, tome 2.djvu/249

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Lancry, je faisais mille suppositions contraires. Je ne pouvais concilier son apparence de gaîté et son empressement auprès de la princesse, avec le regard tendre, désolé, presque suppliant, qu’il m’avait jeté à la dérobée.

Cette mortelle journée finit enfin, Hélas ! elle devait contenir pour ainsi dire dans leur germe bien des malheurs pour l’avenir…

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

Je viens de relire ces pages, cette réflexion me semble encore plus juste ; il n’est pas un des faits les plus insignifiants de ce jour qui n’ait eu plus tard un cruel développement.