Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
CHAPITRE XX.
LES ADIEUX.
Ma résolution une fois arrêtée, j’avais écrit à M. de Lancry qu’après avoir réfléchi au désir qu’il m’avait témoigné, je consentais volontiers à retourner auprès de lui. Je craignais qu’il ne voulût user d’une violence légale, et qu’il ne compromît ainsi tous mes projets en faisant douter de mon empressement à le rejoindre.
Après le départ de M. de Rochegune, j’allai voir madame de Richeville et Emma.
Celle-ci se trouvait beaucoup mieux. Le docteur regardait son rétablissement comme certain. La duchesse, tout à fait remise, me re-