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Page:Sulzer - Nouvelle théorie des plaisirs.djvu/159

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vement de vibration, qu’ils conſervent pendant un temps ſenſible ; les nerfs ne ſont point des cordes tendues, ni des corps rigides. Car dans ce cas, une ſeule impreſſion momentanée ferait durer les ſenſations, ce qui répugne à l’expérience. En effet dès qu’on ferme l’œil, dès qu’on bouche l’oreille, les ſenſations ceſſent. Au lieu qu’elles continueraient, ſi les nerfs avaient un mouvement ſenſible de vibration.