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Page:Suso - Œuvres, 1856, trad. Cartier.djvu/538

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XV. — Dans quel esprit notre Bienheureux assistait Jésns-Christ sur le Calvaire.
XVI. — De son rigoureux silence.
XVII. — De ses grandes mortifications.
XVIII. — Il porte pendant plusieurs années une croix garnie de pointes.
XIX. — De la dureté de son lit.
XX. — Comment notre Bienheureux souffrait le tourment de la soif.
XXI. — Frère Henri est consolé par notre Seigneur Jésus-Christ et par sa sainte Mère.
XXII. — Comment le Bienheureux fut conduit par un ange à l’école d’une plus haute sagesse et d’une plus grande perfection.
XXIII. — Comment frère Henri reçut d’un ange l’épée et les armes de chevalier.
XXIV. — Le Bienheureux se prépare dans la solitude à bien souffrir.
XXV. — Comment Dieu instruisit le Bienheureux par l’exemple d’un jouteur.
XXVI. — Des croix et des tentations intérieures de notre Bienheureux.
XXVII. — De quelques-unes des persécutions que souffrit le Bienheureux.
XXVIII. — Des larmes qu’il répand pour ramener une sœur perdue.
XXIX. — Frère Henri est accusé d’avoir empoisonné les fontaines.
XXX. — Comment le Bienheureux convertit un assassin et court de grands dangers.
XXXI. — Dieu accorde à notre Bienheureux un peu de repos.
XXXII. — Frère Henri se plaint à Dieu de ses afflictions.
XXXIII. — Le nombre et la pesanteur de ses croix le réduisent à l’extrémité.
XXXIV. — Frère Henri invite tous les affligés à souffrir avec joie.
XXXV. — Quelles sont les grâces que Dieu accorde à ses amis affligés.
XXXVI. — Des fruits admirables que produisaient les prédications du Bienheureux.
XXXVII. — D’une grande épreuve qu’eut à supporter le Bienheureux.
XXXVIII. — Des fatigues que la charité du Bienheureux lui faisait supporter pour le salut des personnes religieuses.
XXXIX. — Notre Bienheureux est nommé prieur d’un couvent.
XL. — De la sainteté de sa mère et de ses amis.
XLI. — Du bien que faisait frère Henii, et de sa mort glorieuse.