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— Mais non, veinarde ! vous avez toujours votre toison de Brünnehild ! Ça doit être épatant, défait sur les épaules… »
Un gros monsieur décoré nous frôle ; Barral recule d’un pas et le salue.
« Eh bien, au revoir ; excusez-moi, je suis un peu pressé. À un de ces soirs, sans faute. »