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hélène swarth.
J’écris ton nom plein de refus
Sur mes yeux qui ne dorment plus.
Sur mon front la brise a passé
Et ton nom cher est effacé.
Sur mes yeux la brise l’a bu,
Mais mon cœur ne l’a pas rendu.
Va, passe, efface, ô vent joueur !
Le nom chéri me reste au cœur.
Mais vides, vides sont mes mains
Pour ma soif, le long des chemins.
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