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ous avons tout juste assez de religion pour nous
haïr, mais pas assez pour nous aimer les uns
les autres.
Quand nous réfléchissons aux choses du passé, telles que guerres, négociations, factions, etc., nous entrons si peu dans ces intérêts que nous nous demandons comment on a pu s’agiter et s’émouvoir pour quelque chose de si peu durable ; le présent produit sur nous la même impression, à l’étonnement près.
L’homme sensé tâche, en considérant toutes les circonstances, de former des conjectures et de tirer
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