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Page:Sylva - Les Pensées d'une reine, 1882.djvu/104

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XVII


Le jeûne rend apôtre ; la bonne chère rend diplomate.


XVIII


Ce qui vous fait rougir dans la jeunesse, vous fait pleurer dans l’âge mûr, et rire dans la vieillesse. Ceux qui commencent par rire n’ont plus, pour la fin, que le néant ou la dévotion.


XIX


La bonté de la jeunesse est angélique ; la bonté de la vieillesse est divine.