Aller au contenu

Page:Sylva - Les Pensées d'une reine, 1882.djvu/113

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.


III


Bien des petites fleurs sont foulées aux pieds par les passants. La nature riche et inépuisable les remplace avec usure. Faites comme elle.


IV


Le chien du Saint-Bernard est noble et généreux ; le bouledogue est vorace et impétueux ; le lévrier capricieux et coureur. La nature les a ainsi faits, et a mis sur eux l’empreinte de leur caractère, assez nette pour qu’on ne puisse s’y méprendre.

Les hommes Saint-Bernard tâchent de se donner des airs de bouledogues ;