Page:Sylva - Les Pensées d'une reine, 1882.djvu/127

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VI


Si les joies de ce monde ne sont pas pures, c’est que nous ne le sommes pas.


VII


Le devoir ne fronce les sourcils que tant que vous le fuyez. Suivez-le, il vous sourit.


VIII


Comme l’on serait patient avec tous, si l’on prenait leurs défauts pour de la folie !